L’habiter durable s’initie à l’orée d’un récit urbain prolongeant ses évocations sensibles : l’habiter désirable.
1er grand prix d'architecture Bas Carbone d'EDF 2012
Description détaillée
Bâtiment à énergie positive (BEPOS) - Le socle commun à tous les logements est la recherche d’une certaine indépendance dans un système collectif : pour chaque habitant, une histoire se crée, les façons d’arriver chez soi ou d’y vivre sont singulières. Ce principe se décline également dans le rapport de chacun avec un site de très grande qualité : chaque logement aura un même cadrage sur les espaces boisés et bénéficiera des mêmes rayons du soleil.
La fabrication d’une ville durable impose une corrélation entre formes architecturales, urbaines, innovations techniques et évolutions sociétales. Il s’agit de redéfinir le logement dans une acuité des usages et des statuts en offrant aux locataires de nouveaux espaces d’appropriation. Le logement se redistribue autour d’un espace isolé mais non chauffé : la loggia tempérée. Tournée vers le paysage, elle est à la fois capteur solaire passif et lieu accueillant les usages complémentaires ou à venir : balcon l’été, atelier, chambre complémentaire, bureau. Elle permet une modulation de l’espace du logement au fil des saisons. Depuis la rue jusqu’à l’intimité du logement, les parcours quotidiens modèlent l’architecture par un séquençage de contacts au paysage.
La fabrication d’une ville durable impose une corrélation entre formes architecturales, urbaines, innovations techniques et évolutions sociétales. Il s’agit de redéfinir le logement dans une acuité des usages et des statuts en offrant aux locataires de nouveaux espaces d’appropriation. Le logement se redistribue autour d’un espace isolé mais non chauffé : la loggia tempérée. Tournée vers le paysage, elle est à la fois capteur solaire passif et lieu accueillant les usages complémentaires ou à venir : balcon l’été, atelier, chambre complémentaire, bureau. Elle permet une modulation de l’espace du logement au fil des saisons. Depuis la rue jusqu’à l’intimité du logement, les parcours quotidiens modèlent l’architecture par un séquençage de contacts au paysage.
Vue d'ensemble