La rencontre avec La ville-éperon de La Roche-Bernard fut aussi celle des farouches marins du grand nord de l’Europe. L’histoire des villes est faite de rencontres.
Description détaillée
Un projet ancré, histoires de rencontres
La rencontre avec La ville-éperon de La Roche-Bernard fut aussi celle des farouches marins du grand nord de l’Europe. L’histoire des villes est faite de rencontres. Chacun appartient à ces filiations et construire le renouveau des villes est le prolongement de ces histoires diverses. Appartenir, s’ancrer pour quelques temps, pour une vie c’est aussi reconnaitre ou apprendre à connaitre ces histoires.
Lieu d'aménité
Celle qui va se construire dans le hameau d’Ar Gwilen, dans la ville-village, est celle de la convivialité. C’est ainsi que nous l’avons imaginé derrière son grand mur de schistes bruns. Son portail évoque les histoires des Drakkars et son jardin accueille les rencontres et les conversations. Les jeux et les tables et bancs sont des moments privilégiés pour les échanges entre voisins.
Autour du jardin commun, les maisons et les appartements des galeries sont vigilantes aux domesticités apaisées dans les terrasses et jardins entourées de haies nourricières empruntées à la campagne voisine.
Un cours ouvert et traversé
L’architecture est composée avec soin. Elle laisse entrer la lumière et le soleil du sud en ménageant des perspectives diverses et profondes sur les houppiers voisins. L’architecte des bâtiments de France a apporté son regard vigilant à la matérialité et à l’ordonnancement pour prolonger le travail des architectures de la ville au cœur du jardin d’Ar Gwilen.
Vue d'ensemble