Un équipement public pour voisiner, une architecture qui épouse son sol puis prend liberté pour des retrouvailles, un habité aux ressources du « profiter ensemble ».
Description détaillée
Au cœur du nouveau quartier, en centralité de relations, la maison des retraités sait inviter les publics mêlés, résidents, visiteurs, familles, salariés pour un quotidien renouvelé. Les quatre façades cardinales sont autant de caractères qui répondent aux environnements singuliers.
Entre appropriation progressive des espaces offerts et fonctions quotidiennes de service, la vie de quartier attendue est une possible invention collective, une main tendue vers l’urbanité emprunte au sculpteur Jacques Bousseau. Ainsi, se déploient les fonctions habitées de la maison, variantes de l’invitation des parvis d’entrée et rue active, aux espaces collectifs partagés des halles et rues intérieures, jusqu’aux intimités domestiques qui dominent les espaces publics à partager.
Une architecture qui épouse son sol puis prend liberté pour des retrouvailles
S’ancrer et se reconnaitre sont les deux premiers mouvements de la conception. Un sol qui descend lentement d’ouest en est, qui offre un parvis public aux portes du quartier à venir et autorise une impétuosité de balcons suspendus au-dessus de la combe humide et des grandes perspectives, est un cadeau. L’architecture suit ce premier élan offert et le prolonge avec enthousiasme pour se communiquer aux futurs habitants. Tout, ensuite, est affaire de prolongements inventifs. Les volumes empruntent aux mouvements naturels de ces élans de perspective puis s’intimisent avec réserve sur des tableaux bucoliques et vivants pour s’épanouir en domesticités confortables et surprenantes.
La maison des retraités donne envie d’architecture et de novations respectueuses au voisinage. Les volumes sont raisonnés, fragmentés pour reconnaitre le rythme des maisons voisines et résonnent des reflets de paysages et de grands ciels libres aux couleurs variantes.
Un habité aux ressources du « profiter ensemble »
Et si faire renaitre le bonheur au quotidien du « profiter ensemble » était la mission ?
Alors, pour ce fragment de ville habité au pluriel, résidents, salariés, familles, visiteurs… nous devons questionner la qualité du récit des occasions de rencontres qui s’ancrent dans les lieux où partager les moments du vivre ensemble, projette chacun, vers demain avec enthousiasme.
Les lieux se façonnent alors, baignés de lumière, habités de surprises quotidiennes que provoquent les visiteurs d’occasion comme dans la ville ordinaire.
Le mouvement collégial se nourrit du renouveau quotidien.
Entre appropriation progressive des espaces offerts et fonctions quotidiennes de service, la vie de quartier attendue est une possible invention collective, une main tendue vers l’urbanité emprunte au sculpteur Jacques Bousseau. Ainsi, se déploient les fonctions habitées de la maison, variantes de l’invitation des parvis d’entrée et rue active, aux espaces collectifs partagés des halles et rues intérieures, jusqu’aux intimités domestiques qui dominent les espaces publics à partager.
Une architecture qui épouse son sol puis prend liberté pour des retrouvailles
S’ancrer et se reconnaitre sont les deux premiers mouvements de la conception. Un sol qui descend lentement d’ouest en est, qui offre un parvis public aux portes du quartier à venir et autorise une impétuosité de balcons suspendus au-dessus de la combe humide et des grandes perspectives, est un cadeau. L’architecture suit ce premier élan offert et le prolonge avec enthousiasme pour se communiquer aux futurs habitants. Tout, ensuite, est affaire de prolongements inventifs. Les volumes empruntent aux mouvements naturels de ces élans de perspective puis s’intimisent avec réserve sur des tableaux bucoliques et vivants pour s’épanouir en domesticités confortables et surprenantes.
La maison des retraités donne envie d’architecture et de novations respectueuses au voisinage. Les volumes sont raisonnés, fragmentés pour reconnaitre le rythme des maisons voisines et résonnent des reflets de paysages et de grands ciels libres aux couleurs variantes.
Un habité aux ressources du « profiter ensemble »
Et si faire renaitre le bonheur au quotidien du « profiter ensemble » était la mission ?
Alors, pour ce fragment de ville habité au pluriel, résidents, salariés, familles, visiteurs… nous devons questionner la qualité du récit des occasions de rencontres qui s’ancrent dans les lieux où partager les moments du vivre ensemble, projette chacun, vers demain avec enthousiasme.
Les lieux se façonnent alors, baignés de lumière, habités de surprises quotidiennes que provoquent les visiteurs d’occasion comme dans la ville ordinaire.
Le mouvement collégial se nourrit du renouveau quotidien.
Vue d'ensemble