Information(s) complémentaire(s)
Description détaillée
Cet ancien quartier ouvrier est constitué de maisons individuelles mitoyennes construites dans les années 1920, sur le principe des cités-jardin.
Au cœur de la cité-jardin du Bossis, la forme urbaine proposée témoigne de la volonté de prolonger un environnement végétal de qualité par des cœurs d'îlots paysagers : jardins individuels, noues hydrauliques, foisonnement de veines plantées...
La thématique nourricière est fortement présente dans cet ancien quartier ouvrier, le long des haies, en accompagnement des cheminements et jusqu'aux pignons des maisons et petits collectifs (poiriers en espaliers).
Plusieurs entités végétales font le lien et la transition entre l'espace collectif et l'espace domestique : foisonnement autour des placettes de stationnement, bosquets et jardins d'invitations à l'entrée des logements, ... Elles garantissent l'intimité de chacun tout en créant un paysage commun de quartier.
Les importations architecturales et paysagères du projet permettent un renouvellement du quartier du Bossis sur les plans urbains et domestiques. Tout au long du périmètre de l'îlot, s'alternent volumes construits, venelles d'invitation, ouvertures et perspectives vers le cœur d'îlot.
Les ouvertures, perspectives et cheminements jalonnent le quartier, comme invitation vers le cœur d'îlot et les territoires environnants. La dimension collaborative est mise en œuvre dans le projet par le croisement et la mutualisation des fonctions d'habiter. Les espaces publics et partagés sont structurants du projet d'aménagement : le jardin des pierres basculées, la sente paysagée et la sente nourricière, ainsi que la placette sous les grands houppiers, trouvent leurs caractères fédérateurs dans les liens et pratiques quotidiennes qu'ils permettent et jouent avec la topographie du site.
L'intégration des stationnements en rez-de-chaussée de bâtiment raconte l'apaisement du cœur d'îlot à la faveur d'une vie plus collective.
Le projet développe une écriture de l’assemblage, que ce soit entre les différents volumes construits mais aussi en couture avec les existants, sur site et voisinant. Cela se traduit jusque dans l’écriture architecturale : les collectifs reprennent la forme de petites maisons suspendues sur les toits, la volumétrie propose des toitures à double pente, tissant une parenté architecturale et une continuité visuelle avec les bâtiments patrimoniaux…
Les bâtiments sont conçus dans une enveloppe la plus compacte possible. La plupart des logements sont traversants et les pièces de vie se prolongent sur des terrasses et/ou jardins par de larges baies vitrées garantissant apports solaires et vues.
Un foisonnement des espaces paysagers
Au cœur de la cité-jardin du Bossis, la forme urbaine proposée témoigne de la volonté de prolonger un environnement végétal de qualité par des cœurs d'îlots paysagers : jardins individuels, noues hydrauliques, foisonnement de veines plantées...
La thématique nourricière est fortement présente dans cet ancien quartier ouvrier, le long des haies, en accompagnement des cheminements et jusqu'aux pignons des maisons et petits collectifs (poiriers en espaliers).
Plusieurs entités végétales font le lien et la transition entre l'espace collectif et l'espace domestique : foisonnement autour des placettes de stationnement, bosquets et jardins d'invitations à l'entrée des logements, ... Elles garantissent l'intimité de chacun tout en créant un paysage commun de quartier.
Une présence urbaine fabriquant diversité et rythme
Les importations architecturales et paysagères du projet permettent un renouvellement du quartier du Bossis sur les plans urbains et domestiques. Tout au long du périmètre de l'îlot, s'alternent volumes construits, venelles d'invitation, ouvertures et perspectives vers le cœur d'îlot.
Une conception de l'îlot ouvert et traversant
Les ouvertures, perspectives et cheminements jalonnent le quartier, comme invitation vers le cœur d'îlot et les territoires environnants. La dimension collaborative est mise en œuvre dans le projet par le croisement et la mutualisation des fonctions d'habiter. Les espaces publics et partagés sont structurants du projet d'aménagement : le jardin des pierres basculées, la sente paysagée et la sente nourricière, ainsi que la placette sous les grands houppiers, trouvent leurs caractères fédérateurs dans les liens et pratiques quotidiennes qu'ils permettent et jouent avec la topographie du site.
Les déplacements doux favorisés et une mise en discrétion de la voiture
L'intégration des stationnements en rez-de-chaussée de bâtiment raconte l'apaisement du cœur d'îlot à la faveur d'une vie plus collective.
Une forme urbaine variée et cohérente
Le projet développe une écriture de l’assemblage, que ce soit entre les différents volumes construits mais aussi en couture avec les existants, sur site et voisinant. Cela se traduit jusque dans l’écriture architecturale : les collectifs reprennent la forme de petites maisons suspendues sur les toits, la volumétrie propose des toitures à double pente, tissant une parenté architecturale et une continuité visuelle avec les bâtiments patrimoniaux…
Une éco-conception des bâtiments
Les bâtiments sont conçus dans une enveloppe la plus compacte possible. La plupart des logements sont traversants et les pièces de vie se prolongent sur des terrasses et/ou jardins par de larges baies vitrées garantissant apports solaires et vues.
Vue d'ensemble