Papotière – La Bohème

Un nouveau bâtiment dynamique et intégré dans le tissu urbain

Afin d’inscrire ce nouveau bâtiment dans la trame urbaine composée de constructions continues sur la place, mais en rythme cours de bâtiments assez étroits, la composition générale présente une succession de volumes sur un socle continu de commerces. La volonté publique de renforcer l’attractivité et la dynamique commerciale du cœur de quartier va dans ce sens, ainsi que l’apport de nouvelles populations dans une offre de logements diversifiés du T2 au T4.

Une construction intégrée dans son environnement végétalisé

Ces volumes posés, sur le socle de commerce, laissent - dans leurs entre-deux et sur les limites voisines de part et d’autre - des jardins sur le R+1. Ces jardins sont plantés de feuillus autour des terrasses de logements et de leurs galeries d’accès à chaque niveau.
Afin de rendre acceptable l’arrivée de cette construction dans le cœur du quartier, chaque volume de superstructure est composé en dégradé vers le jardin. En R+3+attique sur rue, les volumes deviennent des R+2 sur jardin dans débords de terrasses.

Des terrasses verdoyantes en harmonie avec le jardin

Depuis la rue, les terrasses du R+1 sont plantées de feuillus autochtones comme dans le jardin. En pleine terre, ils apportent une présence végétale dans les interstices des bâtiments et sur les deux extrémités au contact des voisins.

Des jardins domestiques et potagers pour renforcer le voisinage

Dans le jardin, trois strates linéaires se succèdent :
- Au contact des logements de pieds, des jardins domestiques sont bordés de haies nourricières (néfliers, noisetiers, arbousiers…).
- Dans la haie, le long du chemin, des feuillus filtrent jusqu’à 6.00m les vues plongeantes vers les voisins situés au sud (érables, hêtres, chênes communs…).
- En limite du mur mitoyen du fond de parcelles, des jardins potagers animent la vile collective et soudent les aménités de voisinage.